De l’idée farfelue au chef-d’œuvre médiéval : les coulisses de la fabrication de notre pilori
Vous pensiez que fabriquer un pilori, c’était aussi simple que de planter un clou ? Détrompez-vous ! Cette aventure a été un véritable parcours du combattant, ponctué de moments de doute et de fulgurances de génie.
Des plans qui valsent plus vite qu’une flèche
Au départ, tout semblait simple : un petit croisillon en bois, quelques clous… et hop, un pilori ! Sauf que la réalité a vite rattrapé mes rêves de menuisier du dimanche. Le socle, ce mastodonte de 1,50m, a failli me réduire en esclavage. Heureusement, un dessous de bobine de câble et quelques roues ont sauvé ma santé mentale (et mes lombaires).
Un puzzle géant à résoudre
Chaque étape était une énigme à résoudre. Les serre-joints géants, la colle à bois qui sentait le sapin de Noël, les allers-retours chez Rubio pour trouver la teinte parfaite… Bref, une véritable odyssée ! Et que dire des ferrures ? Après des nuits blanches à chercher l’artisan idéal, j’ai fini par trouver un véritable forgeron médiéval, capable de fabriquer des clous dignes d’un château fort.
Le résultat ?
Un pilori unique, solide comme un roc et beau comme un sou neuf. En sapin ou en chêne, à vous de choisir. Et si vous voulez vous faire remarquer à la prochaine fête médiévale, c’est l’accessoire indispensable !
En résumé, cette aventure m’a appris que :
- Les meilleurs plans sont ceux qu’on ne suit pas.
- Un dessous de bobine de câble peut servir à tout.
- La patience est une vertu… surtout quand on travaille le bois.
Alors, prêt à vous offrir un petit bout d’Histoire ?
P.S. : Si vous avez des questions existentielles sur le Moyen Âge ou si vous souhaitez simplement discuter de la météo, n’hésitez pas à me contacter. Je suis à votre écoute !